Drame pour Marianne James à 63 ans : un chauffard fonce à 150 km/h et lui coupe la route
Ce mercredi 9 avril 2025, Marianne James a illuminé le plateau de C à vous. Venue évoquer sa nouvelle aventure dans la série Face à Face, l’artiste aux multiples facettes a surpris par son authenticité.
Derrière les rires et la promotion, une confession glaçante est venue bouleverser l’émission : celle d’un traumatisme vécu sur la route.
Connue pour son franc-parler et sa verve irrésistible, Marianne James est apparue radieuse sur le plateau de France 5, invitée par Anne-Élisabeth Lemoine. L’ancienne jurée emblématique de La France a un incroyable talent y a présenté son nouveau projet télévisuel, “Face à Face”, où elle incarne un personnage à contre-emploi, révélant une facette plus intime de son jeu.
« Ce rôle me touche profondément, c’est un autre pan de mon identité artistique que je dévoile », a-t-elle confié, mêlant sérieux et humour, comme elle sait si bien le faire. Un échange riche et chaleureux, jusqu’à ce qu’un souvenir douloureux refasse surface.
Une scène d’effroi sur une route déserte
Car derrière le rire, Marianne James n’oublie pas l’été 2023, où elle a frôlé le drame sur une route près de Montélimar. Ce jour-là, vers 14h30, au volant de sa petite voiture, elle emprunte la déviation poids lourds à allure modérée. Une grande ligne droite, personne devant ni derrière elle. Le calme plat… jusqu’à l’irruption du danger.
“Au loin, une voiture blanche fonce sur moi, une grosse allemande tunée, style Fast & Furious”, raconte-t-elle. Dans les derniers mètres, le véhicule change soudainement de voie et fonce droit sur elle, avant de se rétracter à la toute dernière seconde. Un geste d’une violence gratuite, qui restera gravé dans sa mémoire.
Une peur panique et un souvenir viscéral
“J’ai vu défiler tous les visages de ma vie comme un trombinoscope”, confie-t-elle, encore marquée. Le choc psychologique est brutal. En deux secondes et demie, Marianne James a la conviction qu’elle va mourir. Ce n’était pas un accident, mais un jeu malsain, orchestré par des individus inconscients, friands de frissons dangereux.
« Je ne parlerais pas de car-jacking, mais de car-frightening », lance-t-elle avec amertume. Une tentative d’humour noir pour évoquer une frayeur bien réelle. La chanteuse a dû s’arrêter sur le bas-côté pour reprendre son souffle, en larmes, submergée par la peur.
Une prise de parole pour sensibiliser
Loin de chercher la pitié, Marianne James a choisi de partager publiquement cet épisode pour sensibiliser ses abonnés à ces formes d’intimidation routière. Elle l’a fait dès les jours suivant l’incident, via ses réseaux sociaux, espérant éveiller les consciences.
« On ne mesure jamais les conséquences d’une conduite agressive, surtout quand elle est faite pour impressionner », a-t-elle alerté. Pour elle, le volant ne devrait jamais être un instrument de pouvoir ou de terreur, encore moins un terrain de jeu pour les conducteurs en mal de sensations.
Un traumatisme derrière le rire
Si la comédienne semble aller mieux aujourd’hui, cet événement continue de la hanter. Il révèle une facette plus vulnérable d’une personnalité que le grand public perçoit souvent comme solaire et exubérante. Mais derrière la voix puissante et le rire communicatif, il y a aussi des blessures, des silences, et des cicatrices invisibles.
Marianne James, en évoquant ce moment de peur intense, rappelle qu’aucune célébrité n’est à l’abri des violences ordinaires. Et que parfois, un détour par l’intime vaut mille discours. Une parole forte, au service de la conscience collective.