Drame de Kendji Girac : « Sache que tu… », une célèbre actrice française ne prend pas de gants avec le chanteur
Dans la nuit du 21 au 22 avril 2024, Kendji Girac a été gravement blessé par balle au thorax sur l’aire des gens du voyage à Biscarosse. Ce drame, survenu aux petites heures du matin, a rapidement été médiatisé en raison de la nature spectaculaire et troublante de l’incident. Le chanteur de 27 ans a été opéré d’urgence et ses jours ne sont désormais plus en danger.
La révélation du procureur
Jeudi 25 avril, Olivier Janson, le procureur de la République de Mont-de-Marsan, a tenu une conférence de presse révélatrice. Il a expliqué que Kendji Girac avait tenté de « simuler un suicide » pour empêcher sa compagne, Soraya, de le quitter, exacerbé par une forte consommation d’alcool et de cocaïne cette nuit-là.
Kendji aurait déclaré lors de son hospitalisation: « Je voulais faire entendre le bruit de la détente à Soraya, pour qu’elle ne parte pas ».
La lettre ouverte d’Andréa Bescond
Face à ces révélations, l’actrice Andréa Bescond n’a pas tardé à exprimer son indignation. Dans une lettre ouverte publiée sur Instagram, elle a adressé directement ses pensées à Kendji Girac. « Tu es Kendji Girac.
D’après les médias, tu t’es tiré une balle dans le corps pour mettre la pression à ta femme qui te fait des reproches sur ton comportement à risques. Sache que de menacer de se suicider quand un.e partenaire souhaite interrompre une relation, c’est une torture psychologique infligée à l’autre », écrit-elle.
Réactions et conséquences
Les réactions ne se sont pas fait attendre, avec des soutiens et critiques traversant les réseaux sociaux et les médias. Vianney, proche de Kendji, a critiqué le procureur pour ses révélations détaillées sur la vie privée de Kendji, tandis qu’Andréa Bescond a conclu sa lettre en conseillant au chanteur de suivre une thérapie pour mieux gérer ses émotions et comportements.
« Fais une thérapie », a-t-elle suggéré, soulignant l’importance de la santé mentale même pour les figures publiques.
Dans ce tumulte médiatique et émotionnel, l’affaire Kendji Girac reste un sujet sensible, mêlant des questions de santé mentale, de vie privée et de responsabilité médiatique.
