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Drame au bois de Boulogne : « Je vais changer de… », psychose à l’université Paris-Dauphine après la mort de Philippine

Le drame qui a ébranlé le bois de Boulogne continue de susciter des questions et de la consternation.

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Philippine, une jeune étudiante de 20 ans à l’Université Paris-Dauphine, a été retrouvée morte dans des circonstances épouvantables, son corps partiellement enterré.

La disparition initialement signalée par sa sœur a déclenché une série de découvertes sinistres et une enquête intense menée par la brigade criminelle.

Les efforts désespérés de sa famille et de ses amis pour la retrouver ont rapidement pris une tournure tragique. Après une battue organisée dans le bois de Boulogne, le corps de Philippine a été découvert, marqué par de multiples blessures et sévices.

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Des témoignages ont évoqué un homme avec une pioche à proximité du lieu de la découverte, ajoutant une aura sinistre à l’événement.

Une enquête pour homicide volontaire a immédiatement été ouverte, confiée aux mains expérimentées de la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris.

La communauté universitaire en deuil

À l’Université Paris Dauphine, l’onde de choc a été palpable. Les camarades de Philippine lui ont rendu hommage par une minute de silence poignante.

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Une de ses enseignantes se souvient d’elle comme une étudiante brillante et dynamique, toujours prête à apprendre et à soutenir ses pairs. La tristesse dans l’établissement est profonde, mais la peur s’y mêle également.

Des étudiantes expriment désormais leur crainte de traverser le bois de Boulogne, un lieu auparavant fréquenté pour des balades entre étudiants.

Sécurité et incertitude

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L’inquiétude se répand parmi les jeunes femmes de l’université, témoignant du sentiment de vulnérabilité qui accompagne ce tragique événement.

« Nous sommes des milliers de jeunes filles à nous inquiéter car cela aurait pu être l’une d’entre nous, » partage une étudiante, réfléchissant à la sécurité dans l’espace urbain où elles évoluent quotidiennement. La réputation du bois de Boulogne, déjà ternie, se trouve encore assombrie par ce crime.

L’attente de réponses concrètes

Les premiers résultats de l’autopsie indiquent une mort par asphyxie, mais l’absence de traces de strangulation complique le tableau des événements.

D’autres examens et expertises sont attendus, alors que les parents de Philippine, ainsi que toute une communauté, attendent des réponses.

Les enquêteurs, sous pression, poursuivent leurs efforts pour élucider les circonstances de cette affaire qui reste gravée dans les mémoires de tous ceux qui l’ont connue.

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