Décès de Michel Blanc : “On a découvert…”, Thierry Lhermitte fait des révélations sur ses derniers jours
La disparition de Michel Blanc le 3 octobre dernier a laissé une empreinte indélébile sur le cœur de ses admirateurs et de ses proches.
À l’âge de 72 ans, l’acteur, célèbre pour son rôle de Jean-Claude Dusse, a succombé à un œdème de Quincke durant un examen médical.
Malgré cette perte soudaine, il a laissé derrière lui un dernier hommage à son talent et à sa carrière à travers l’ouvrage « Le Splendid par le Splendid » (Ed. Le Cherche Midi), prévu pour sortir le 28 novembre.
Un dernier hommage littéraire
À la veille de la sortie du livre, Thierry Lhermitte s’est exprimé sur le plateau de « C à vous » sur France 5. Interviewé par Anne-Elisabeth Lemoine, il a partagé comment ce projet avait permis une ultime réunion de la troupe du Splendid.
« On se voyait régulièrement, mais là, avec le bouquin, on a eu l’occasion de se voir plus, » a-t-il déclaré.
Le livre offre une plongée dans le parcours de cette troupe iconique, enrichi par des commentaires individuels sur des photos de leurs collections personnelles, ajoutant une dimension personnelle et authentique à cet hommage.
Les derniers jours de Michel Blanc
Trois jours seulement avant sa disparition, Michel Blanc et ses compagnons ont reçu un Bon à Tirer, leur permettant de valider le contenu du livre.
Thierry Lhermitte a souligné l’importance de ce moment, « On relisait ce qu’on avait écrit pour ne pas dire de connerie. On a découvert après ce qu’avaient dit les autres et c’est tellement sympa, tellement chaleureux, » reflétant la cohésion et la complicité qui ont longtemps caractérisé le groupe.
Une perte ressentie par ses amis
L’impact de la perte de Michel a été particulièrement poignant pour Thierry Lhermitte, qui a lu les écrits de Michel la nuit de sa mort.
Ce moment a été chargé d’émotions, révélant des sentiments profonds et peut-être des regrets quant à ce que Michel n’a peut-être jamais lu sur lui-même.
Bruno Moynot, un autre membre de la troupe, a exprimé un doute, suggérant que Michel, connu pour son sérieux, aurait peut-être eu le temps de découvrir les pensées de ses amis.