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Décès d’Alain Delon : sa « petite soeur » Véronique de Villèle « effondrée de tristesse »

Le plateau du film « La Piscine » en 1969 a servi de toile de fond à une rencontre marquante pour Véronique de Villèle, une jeune actrice alors débutante, et Alain Delon, une étoile du cinéma français.

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Cette rencontre fortuite a tissé les premiers fils d’une amitié profonde et durable qui allait s’épanouir au fil des décennies.

Alain Delon, alors au sommet de sa gloire, interprétait Jean-Paul, un écrivain oisif, dans le cadre idyllique d’une villa du Sud de la France, accompagné de Romy Schneider.

Véronique de Villèle, participant au film en tant qu’invitée lors d’une scène de soirée, a rapidement évolué au-delà de ce rôle éphémère.

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Leur brève interaction a semé les graines d’une relation qui allait dépasser le cadre professionnel pour atteindre une dimension beaucoup plus personnelle et intime.

Une place privilégiée dans le cercle de Delon

Véronique est devenue l’assistante de Mireille Darc, la compagne d’Alain Delon de cette époque, et par extension, une proche du couple.

Elle n’était pas perçue simplement comme une assistante, mais comme une membre de leur famille, une « petite sœur » aux yeux des deux stars.

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Cette relation unique lui a permis d’accéder à un milieu clos et privé, partageant leur quotidien et contribuant même à la construction de leur maison de Douchy.

Leur complicité s’étendait au-delà des moments de loisirs; Véronique accompagnait Alain Delon sur les plateaux de tournage et lors de voyages autour du monde.

Elle évoque une relation d’une intensité rare, presque fraternelle, marquée par une confiance et une affection mutuelles profondes.

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Cette proximité a donné lieu à des moments de joie partagée et de confidences sincères.

Le chagrin d’une perte immense

La disparition d’Alain Delon a plongé Véronique de Villèle dans une profonde tristesse, révélant l’ampleur de leur lien. « J’ai le cœur coupé en deux », confie-t-elle, exprimant un chagrin qui tranche à travers les décennies d’amitié.

Chaque souvenir, chaque message échangé résonne maintenant avec une douleur renouvelée, soulignant la profondeur de la perte qu’elle ressent.

Dans son témoignage, Véronique rend hommage à l’homme derrière l’icône, mettant en lumière sa générosité, sa loyauté, et son humour.

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Ces qualités, souvent occultées par son image publique, étaient des facettes essentielles de son être que seuls ses proches pouvaient pleinement apprécier.

Elle parle d’un lien indéfectible, d’une amitié qui a résisté aux épreuves du temps, illustrant la richesse d’une relation qui dépasse le cadre des caméras et des projecteurs.

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