Combien donner aux pompiers pour leur calendrier ? Voici la somme idéale (d’après les experts) !
Les pompiers, ces héros du quotidien, sont non seulement en première ligne pour éteindre les incendies et sauver des vies, mais ils jouent aussi un rôle crucial lors de leur visite annuelle pour la vente de calendriers.
Cette tradition bien établie soutient financièrement l’amicale des sapeurs-pompiers, une organisation dédiée à l’aide des pompiers et de leurs familles en difficulté.
Chaque année, les sapeurs-pompiers de diverses casernes, comme celle de Castres où officie Franck Carayon, prennent l’initiative de vendre des calendriers pour financer leur amicale.
Cette structure leur apporte un soutien indispensable, que ce soit en cas de besoin personnel ou pour améliorer leur quotidien en caserne, en fournissant des repas améliorés ou un accès au Wifi, explique un article de La Dépêche.
L’investissement derrière les calendriers
Produire et distribuer ces calendriers nécessite un investissement significatif en termes de temps et d’argent. Les coûts incluent la photographie, la mise en page, l’impression, et même le papier.
Le temps passé à faire du porte-à-porte pour les vendre est également considérable, surtout lorsqu’il s’agit de le faire hors de leurs heures de service.
Combien donner pour un calendrier ?
Il est courant de se demander quelle somme est appropriée pour contribuer efficacement à cette cause. Selon MoneyVox, offrir quelques centimes ne suffit pas à couvrir les frais ni à reconnaître l’effort des pompiers.
Un don de 10 euros ou plus est recommandé pour vraiment soutenir l’amicale, offrant ainsi un bénéfice raisonnable pour justifier leurs efforts, surtout lors de leurs tournées souvent effectuées en soirée.
Alternatives pour soutenir les pompiers
Pour ceux qui ne peuvent ou ne souhaitent pas acheter un calendrier, d’autres moyens de soutien existent.
Des dons peuvent être effectués en ligne ou par SMS à l’Œuvre des Pupilles (ODP), une organisation qui se consacre à aider les enfants de pompiers orphelins suite au décès de leurs parents en service.