Charles III « dans un état effroyable » : la mort de Lady Di lui a mis un coup, révélations de Stéphane Bern
Le 31 août 1997 marque une date noire dans l’histoire contemporaine britannique avec le décès tragique de Lady Diana, la « princesse du peuple », dans un accident de voiture à Paris.
À l’époque, Diana avait déjà divorcé de Charles III, mais la nouvelle de sa mort plonge ce dernier dans un désarroi profond, révélant des facettes méconnues de sa personnalité et des réactions inattendues au sein de la monarchie britannique.
Le décès de Lady Diana a laissé derrière elle deux jeunes princes, William et Harry, et un ex-mari, Charles III, profondément affecté par la perte.
Stéphane Bern, sur le plateau du Buzz TV de TV Mag, corrige certaines perceptions publiques, notamment celles propagées par des séries comme The Crown.
Il insiste sur l’impact émotionnel colossal que la mort de Diana a eu sur Charles, un aspect souvent sous-estimé ou mal représenté médiatiquement.
Bern révèle un Charles III dévasté, un homme qui malgré le divorce, ressentait une profonde douleur, pleurant ouvertement la disparition de son ex-épouse.
Cette image d’un Charles émotionnellement déchiré contraste fortement avec l’image publique habituelle de retenue royale et de stoïcisme.
Réactions immédiates et craintes royales
Le moment où Charles III a appris la nouvelle de l’accident est décrit avec intensité par Penny Judor, biographe royale. Charles anticipait les répercussions publiques et la possible chute de la monarchie, soulignant l’immense pression et la culpabilité ressentie.
« Tout le monde va dire que c’est de ma faute, n’est-ce pas? », ces mots traduisent une conscience aiguë des dynamiques publiques et des tensions sous-jacentes à son rôle.
Impact familial et réactions des princes
Le prince Harry, dans ses mémoires, partage un moment intime post-tragédie, illustrant la complexité des réactions familiales.
La tentative de son père de le consoler alors qu’il était enfant, tout en gérant son propre chagrin, dépeint une tentative paternelle de protection souvent omise dans les narrations publiques.
Ce récit personnel ajoute une couche de complexité à la compréhension publique des événements et de leurs impacts sur les individus impliqués.
