La récente tentative de suicide de Kendji Girac, qui a failli lui coûter la vie, a révélé des facettes troublantes de sa vie privée et de ses relations personnelles.

Selon les déclarations faites lors d’une conférence de presse par le procureur de la République de Mont-de-Marsan ce jeudi, il semblerait que l’incident ait été une simulation destinée à empêcher sa compagne de le quitter. Cette révélation vient compliquer une affaire déjà chargée d’émotions et de controverses.

Andréa Bescond, réalisatrice engagée et cinéaste de « Les chatouilles », a vivement réagi à ces informations. Sur ses réseaux sociaux, elle a critiqué le geste de Kendji Girac, l’accusant de manipuler émotionnellement sa partenaire. « D’après les médias, tu t’es tiré une balle dans le corps pour mettre la pression sur ta femme qui te fait des reproches sur ton comportement à risques.

Sache que menacer de se suicider quand un.e partenaire souhaite interrompre une relation, c’est une torture psychologique infligée à l’autre, » écrit-elle. Bescond souligne que la bonne démarche dans une telle situation serait de travailler sur soi, potentiellement à travers une thérapie, plutôt que d’exercer une telle pression sur un être cher.

« Tu fais souffrir tes proches par ton ego, » conclut-elle, rejetant toute tentative de la part de Girac de se positionner comme victime dans cette affaire.Cette affaire, bien qu’en voie de classement sans suite selon le procureur, continue de susciter un vif intérêt médiatique et de débats autour des responsabilités personnelles et des comportements dans la sphère privée, surtout chez les personnalités publiques. Les commentaires de Bescond reflètent une sensibilité croissante aux questions de manipulation et de consentement dans les relations, mettant en lumière les complexités des interactions humaines sous le feu des projecteurs.