“Ceci n’est pas une parodie” : Arielle Dombasle consternante ? Sa performance pour les JO n’a pas fait l’unanimité
Le 14 juillet 2024, lors d’une prestation très attendue à Paris pour les Jeux Olympiques, Arielle Dombasle a dévoilé son interprétation d’un classique de Beethoven devant une foule immense.
Toutefois, ce moment censé être triomphal a été accueilli avec des critiques sévères, marquant un contraste saisissant entre l’intention artistique et la réception publique.
Arielle Dombasle, connue pour son style flamboyant et sa voix distinctive, a pris une initiative audacieuse en chantant ce qu’elle appelait son « hymne » pour les JO.
Son apparence était tout aussi spectaculaire, avec une robe ornée de cerceaux, des bottes blanches imposantes, et une coiffure qui ne passait pas inaperçue. Le cadre, celui de l’arrivée de la flamme olympique, était supposé magnifier ce moment.
Réaction du Public
Malheureusement, l’accueil n’a pas été à la hauteur de ses attentes. Les critiques ont été acerbes et nombreuses, comparant sa performance à une « parodie » et la surnommant « Afida Turner de la bourgeoisie ».
Certains commentaires sur les réseaux sociaux exprimaient une préférence marquée pour des artistes comme Aya Nakamura, soulignant un décalage entre le choix de l’organisateur et les attentes du public.
En dépit des réactions négatives, Arielle Dombasle est restée fière de sa contribution, expliquant avoir souvent mélangé des éléments modernes avec des classiques.
Arielle Dombasle qui interprète son « hymne olympique » pour les JO de Paris 2024. Ceci n’est pas une parodie. #Paris2024 pic.twitter.com/TdA1qAJViQ
— Stella (@starstella616) July 14, 2024
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Elle a choisi la Septième Symphonie de Beethoven spécifiquement pour son caractère exaltant et hymnique. « Il y a une cadence musicale qui est exaltante, » affirmait-elle, mettant en avant son désir de créer un moment mémorable.
Arielle a également partagé que ses paroles visaient à célébrer les femmes athlètes et à reconnaître les défis historiques auxquels elles ont été confrontées dans les sports, notamment leur intégration tardive aux Jeux Olympiques.
Cette dimension de son interprétation ajoute une couche de profondeur à sa performance, même si celle-ci n’a pas été universellement appréciée.