Catherine Lara brutalement honnête sur Louane à l’Eurovision : « Elle n’était pas très bonne »
La participation de Louane à l’Eurovision 2025 a suscité de nombreuses réactions, entre enthousiasme et déception.

Tandis que Catherine Lara livre aujourd’hui une analyse sans détour de la prestation française, la chanteuse, elle, se confie sur une réalité bien plus intime : une maladie invisible, une quête d’ancrage familial et la complexité d’une carrière menée sous le regard du public.
En septembre, Louane révèle souffrir de spondylarthrite ankylosante, une maladie inflammatoire chronique qui affecte les articulations et provoque douleurs, raideurs et crises parfois très intenses. « On se parle, j’ai mal. Mais j’ai l’habitude », confie-t-elle avec une sincérité touchante.
La forme axiale dont elle est atteinte touche simultanément ses genoux, ses chevilles et ses poignets, compliquant chaque déplacement et chaque performance. Malgré tout, elle s’accroche à des routines apaisantes, comme une alimentation anti-inflammatoire et le pilates : « Ça aide vraiment », affirme la chanteuse qui continue d’affronter la scène avec courage.
Les tatouages, une manière d’ancrer ce qui compte

Louane s’exprime aussi sur un aspect très personnel de son identité : ses tatouages. Le premier, réalisé à 16 ans dans son internat, marque le début d’une démarche intime et artistique. Aujourd’hui, elle en compte une quarantaine, dont un dédié à sa fille, symbole d’un amour profond et constant.
« À la minute où ma fille est née, j’ai voulu qu’elle soit ancrée en moi », explique-t-elle. Pour Louane, ces marques sont une façon de garder près d’elle les êtres qui ont compté, un lien permanent entre mémoire, famille et émotions.
Catherine Lara analyse la prestation française à l’Eurovision

Invitée de l’émission On refait la télé le 29 novembre 2025, Catherine Lara donne son avis sans détour sur l’échec de la France à l’Eurovision. Sa critique vise surtout la chanson Maman, interprétée par Louane :
« Peut-être que la chanson n’était pas très bonne, je ne sais pas », affirme la musicienne, tout en saluant le talent de la jeune artiste. Elle juge le morceau « un peu compliqué », estimant qu’il manquait sans doute de simplicité pour toucher immédiatement le public international.
Pour Catherine Lara, créer une chanson populaire et raffinée est un exercice extrêmement difficile, même pour les artistes les plus expérimentés : « Il n’y a rien de plus difficile que de faire une belle chanson », conclut-elle.






