Rachida Dati n’en finit pas de faire parler d’elle. Toujours entre ambitions politiques et rumeurs médiatiques, la ministre de la Culture attire à nouveau tous les regards.

Alors qu’elle prépare activement sa candidature aux municipales de Paris, son nom se retrouve mêlé à celui de Nicolas Sarkozy, son ami de longue date aujourd’hui incarcéré, et à celui de Carla Bruni, avec qui la tension n’aurait jamais vraiment disparu.

Fidèle à son tempérament de battante, Rachida Dati nourrit plus que jamais l’ambition de conquérir la mairie de Paris, poste qu’occupe actuellement Anne Hidalgo. L’ancienne garde des Sceaux, toujours élégante et déterminée, souhaite redonner un souffle nouveau à la capitale et mettre fin à ce qu’elle perçoit comme une “immobilité municipale”.
Mais derrière la femme politique expérimentée et la ministre au franc-parler, les polémiques ne manquent pas : entre critiques sur sa gestion du cambriolage du Louvre et sorties médiatiques au ton tranchant, Rachida Dati reste fidèle à son image de femme directe, que rien ne semble pouvoir ébranler.

Une amitié indéfectible avec Nicolas Sarkozy

Depuis des années, Rachida Dati et Nicolas Sarkozy entretiennent une relation de confiance et de loyauté. Leur complicité politique a nourri bien des rumeurs, mais la ministre s’en amuse plus qu’elle ne s’en agace.
« Sarko, on a dit qu’on avait couché ensemble. Mais c’est absurde ! », a-t-elle déclaré sans détour. Elle décrit leur lien comme une véritable amitié, née d’un respect mutuel et d’une admiration réciproque.
Selon elle, l’ancien président appréciait sa franchise et sa force de caractère, bien loin des clichés de la “jeune ministre issue de banlieue”. Une alliance politique et humaine que les épreuves — y compris l’incarcération de Nicolas Sarkozy — n’ont pas altérée.

Une relation glaciale avec Carla Bruni

Mais tout n’a pas toujours été aussi harmonieux autour de l’ancien président. L’arrivée de Carla Bruni à l’Élysée en 2007 aurait marqué un tournant dans les relations entre Rachida Dati et le couple présidentiel.
Selon plusieurs récits rapportés dans l’ouvrage Les Conquérantes de Christine Clerc, la chanteuse n’aurait jamais caché une certaine méfiance à l’égard de la ministre. L’anecdote est restée célèbre : alors qu’elle faisait visiter les appartements présidentiels à Dati, Carla Bruni lui aurait lancé ironiquement :

« Tu aurais bien aimé que cette chambre soit la tienne, n’est-ce pas ? »
Une phrase qui aurait scellé une relation froide et distante entre les deux femmes.

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