« Brigitte va être jalouse » : Emmanuel Macron très proche d’une Brésilienne, elle lui colle d’un peu trop près
À l’heure où la planète subit de plein fouet les conséquences du réchauffement climatique, les dirigeants du monde entier s’apprêtent à débattre de mesures décisives.

La COP30, organisée à Belém au Brésil, remet au centre des discussions l’urgence d’agir. Parmi les figures attendues, Emmanuel Macron arrive sous les projecteurs. La 30e conférence des Nations unies sur le changement climatique réunit, du 6 au 21 novembre, cinquante chefs d’État prêts à défendre leurs engagements environnementaux. Dix ans après l’Accord de Paris, l’heure est venue d’évaluer ce qui a été mis en œuvre, et surtout ce qui reste à faire. La France entend « valoriser les résultats obtenus » tout en appelant à un nouvel élan diplomatique, indispensable face à l’accélération de la crise climatique.
Les objectifs de la COP30

L’Élysée souligne que la lutte contre la déforestation et la concrétisation de la finance climat seront au cœur des débats. Les pays doivent présenter leur trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre, un exercice délicat, tant les intérêts économiques et politiques divergent. Le Brésil accueille l’événement avec l’ambition de jouer un rôle moteur, sous l’impulsion de son président Luiz Inácio da Silva.
Les dirigeants européens arrivaient affaiblis, incapables jusqu’aux dernières heures de s’accorder sur leurs objectifs climatiques. L’Union européenne a finalement maintenu sa cible de -90 % d’émissions d’ici 2040, mais en intégrant des assouplissements. Les États membres pourront utiliser jusqu’à 5 % de crédits carbone internationaux pour atteindre leurs objectifs, un pourcentage susceptible d’augmenter. Ce compromis illustre les tensions internes : concilier ambition écologique et préoccupations économiques reste un exercice périlleux.
Une flexibilité qui interroge

Parmi les concessions, le report d’un an de l’extension du marché carbone au transport routier et au chauffage fait grincer des dents. Certains y voient une adaptation nécessaire, d’autres un signal de relâchement. Le climat de négociation reflète les difficultés de l’Europe à parler d’une seule voix, alors que la pression internationale s’accroît.
Avant même l’ouverture officielle de la COP30, Emmanuel Macron a profité d’une promenade dans les rues de Belém. Sourires, poignées de main, tambour improvisé : une séquence chaleureuse qui a fait le tour des réseaux sociaux. Mais c’est une scène bien particulière qui a retenu l’attention des internautes. Dans une vidéo largement partagée, on voit le chef de l’État enlacé par une Brésilienne, visiblement ravie de rencontrer le président français.
La femme, tout sourire, agrippe le bras d’Emmanuel Macron avec enthousiasme, déclenchant quelques réactions amusées en ligne. Certains y voient une simple marque de sympathie, d’autres ironisent sur la proximité affichée. Cette image contraste avec le sérieux diplomatique de la COP, mais rappelle aussi que la politique reste, à sa manière, un théâtre humain où chaque geste peut devenir symbole.






