Dans le sanctuaire de Saint-Tropez, Brigitte Bardot, icône incontestée de l’âge d’or du cinéma français et figure emblématique des yéyés, réside dans une tranquillité presque totale.

À l’abri des regards dans sa villa, La Madrague, elle vit entourée de souvenirs d’une époque révolue, depuis 1958, année où, à l’âge de 24 ans, elle en fit son refuge permanent.

Brigitte Bardot, l’une des dernières légendes de l’époque dorée des yéyés, a choisi de se retirer loin de l’agitation du monde, dans sa maison à Saint-Tropez, un lieu aussi célèbre que sa propriétaire.

Son domicile, acquis dans sa jeunesse, est devenu au fil des ans un symbole de sa vie après le cinéma, où elle a pris ses distances avec le star-system tout en restant une figure de proue du glamour français.

Caprices de la Nature

Récemment, la tranquillité de cette résidence a été troublée par des pluies diluviennes, typiques de l’intensité climatique que connaît parfois le sud de la France.

Ces intempéries ont causé d’importants dommages à La Madrague, mettant en lumière la vulnérabilité même des bastions les plus sereins face aux caprices de la nature.

Une Vie de Discrétion

Bardot, personnage autrefois synonyme de scandale et de séduction, vit désormais en reclus dans sa villa. Très discrète, elle partage son quotidien avec son mari, Bernard d’Ormale.

Malgré leurs vies distinctes, ils trouvent le temps de savourer des instants de quiétude.

Bardot confie nécessiter la présence constante d’un compagnon, révélant une dépendance émotionnelle qui contraste avec l’image d’indépendance qu’elle projetait autrefois.

Une Vie Marquée par les Épreuves

Le récent déluge n’est pas le seul événement marquant de l’année pour Bardot. Elle a également perdu Alain Delon, un proche, et son chien bien-aimé, E.T.

Ces pertes ont plongé l’actrice dans une profonde mélancolie. « Je suis en deuil, » confie-t-elle, illustrant le poids des épreuves qu’elle endure malgré le cadre idyllique de sa résidence.

La Résilience face au Déluge

Pour la première fois en soixante ans, Bardot a vu sa propriété assiégée par les eaux, une expérience qui l’a profondément choquée.

La mer semblait vouloir reprendre ses droits, engloutissant jardins et allées sous une masse d’eau boueuse. Ce spectacle de désolation a marqué un tournant pour l’actrice, habituée aux tempêtes médiatiques, mais moins aux assauts de la nature.