« Bien fait pour lui » : sans pitié, Véronique Sanson estime que son ex-mari Pierre Palmade aurait dû être condamné plus lourdement
Deux ans après le drame qui a bouleversé la France, Véronique Sanson a choisi de briser le silence. L’ex-épouse de Pierre Palmade a livré son sentiment, sans détour, sur l’accident tragique provoqué par l’humoriste en 2023, et sur la peine jugée trop clémente à ses yeux.
Mariée près de dix ans à Pierre Palmade, Véronique Sanson n’avait encore jamais exprimé publiquement son avis sur ce drame de la route qui avait coûté la vie à un bébé à naître et marqué durablement une famille. Invitée de l’émission Sept à Huit sur TF1, la chanteuse de 76 ans a expliqué son long silence : « Je ne l’ai pas condamné parce que je n’avais pas envie de dire publiquement que ce qu’il avait fait, c’était épouvantable. »
« C’est bien fait pour lui »
Face à Audrey Crespo-Mara, l’artiste n’a pas mâché ses mots. « C’est épouvantable ce qu’il a fait… Et quand il a été condamné à de la prison, je me suis dit : c’est bien fait pour lui ! » Elle estime même que la justice aurait dû aller plus loin. En évoquant la perte du bébé, la douleur de la mère et l’état de santé dramatique du père, elle a dénoncé la disproportion entre le drame vécu par les victimes et la peine infligée : « Pour une dose de je ne sais pas quoi, faire ça, c’est atroce ! »
Un mariage d’amour malgré les moqueries
Véronique Sanson est également revenue sur son union singulière avec Pierre Palmade. Elle a insisté sur la sincérité de leur relation : « Je l’ai aimé en sachant qu’il aimait les hommes. Mais moi, je l’aimais lui. On s’est beaucoup aimés. » Un témoignage qui rappelle la tendresse intacte mais qui contraste avec la sévérité de ses propos sur l’affaire judiciaire.
Rappel des faits et d’une condamnation controversée
Le 10 février 2023, Pierre Palmade avait provoqué un grave accident en Seine-et-Marne alors qu’il conduisait sous l’emprise de la cocaïne et de drogues de synthèse. Trois personnes avaient été grièvement blessées, dont une femme enceinte de six mois qui avait perdu son enfant. Condamné à cinq ans de prison dont deux fermes en novembre 2024, il n’avait passé que quatre mois derrière les barreaux avant d’être libéré, sous bracelet électronique, une décision vivement critiquée par l’opinion publique.
