Benjamin Duhamel trop “agressif” sur BFMTV ? Sa mère Nathalie Saint-Cricq balance !
Benjamin Duhamel, figure montante de BFMTV, bénéficie de critiques professionnelles bien particulières après chaque émission de « Tout le monde veut savoir ».
Sa mère, Nathalie Saint-Cricq, éditorialiste politique chevronnée chez France 2, ne manque pas de lui fournir des retours détaillés, fusionnant ainsi la sphère familiale et professionnelle de manière unique. Cet article explore leur dynamique, les conseils maternels et leur impact sur la carrière de Benjamin.
Un debriefing quotidien mère-fils
Chaque jour, avant et après son émission sur BFMTV, Benjamin Duhamel échange avec sa mère, Nathalie Saint-Cricq. « On se parle avant et après », confie-t-elle sur RTL, illustrant leur routine bien rodée. Lorsque ses obligations professionnelles l’empêchent de suivre l’émission en direct, elle rattrape le temps perdu en visionnant le replay pour ne rien manquer de la performance de son fils.
Des conseils francs et constructifs
Au cours de ces appels, Nathalie ne ménage pas ses mots. Elle commente ouvertement la prestation de Benjamin, soulignant les aspects à améliorer : « Quand il y a des trucs qui m’énervent, je lui dis : ‘fais gaffe, t’es un peu agressif’ ou ‘tu parles trop vite' ». Malgré une réaction initiale parfois brusque, Benjamin semble reconnaître la pertinence de ces conseils, souvent en phase de réflexion postérieure.
Un regard maternel critique mais bienveillant
Le détail ne s’arrête pas à la performance oratoire. Nathalie porte également un œil critique sur l’image de son fils, allant jusqu’à commenter son apparence lorsqu’elle le juge nécessaire : « Ne te regarde pas dans le retour, ça se voit que tu te regardes », ou même « L’autre jour, je lui ai dit qu’il ressemblait à un sanglier ». Ces échanges, teintés d’humour, témoignent d’une relation ouverte et sans faux-semblants.
Un soutien inébranlable malgré les défis
Au-delà des critiques, Nathalie exprime un soutien ferme à l’égard de son fils. Reconnaissant son travail acharné et sa détermination, elle se dit « très satisfaite pour lui », soulignant que Benjamin ne se contente pas de « faire des claquettes à la télévision ». Sa fierté de mère transparaît clairement, affirmant que « on ne fait pas des enfants pour essayer de les dominer et de les écraser ! ».
