«Arrêtez de faire pleurer ma mère» : David Hallyday vole au secours de Sylvie Vartan dans «C à vous»
Réunis pour la première fois depuis près de quatre décennies sur un plateau télévisé, Sylvie Vartan et David Hallyday ont vécu un moment rare d’émotion dans « C à vous ».

Entre confidences artistiques, souvenirs familiaux et l’héritage d’un tube devenu intergénérationnel, leur échange a révélé une complicité intacte malgré le temps. Trente-sept ans après leur dernière apparition côte à côte, Sylvie Vartan et David Hallyday se sont retrouvés sur le plateau de France 5, offrant aux téléspectateurs une scène presque historique. Invitée pour présenter son album Je tire ma révérence, la chanteuse partageait l’affiche avec son fils, qui fait ses premiers pas d’acteur dans Ardennes, le téléfilm de Josée Dayan. Cette réunion inattendue a immédiatement capté l’attention du public, ravivant des souvenirs familiaux longtemps tenus à distance des écrans.
Une carrière qui traverse les générations

Au-delà de l’actualité de David Hallyday, l’émission est revenue sur l’immense parcours de Sylvie Vartan, l’une des icônes de la chanson française. C’est son titre La Maritza qui a suscité l’émotion la plus vive. Leïla Bekhti et Jonathan Cohen, admirateurs de la chanson, sont cités pour illustrer la portée intergénérationnelle du morceau. Sylvie confie que ce titre reste l’un des plus marquants de sa carrière, notamment parce que c’est la première fois que son père a pleuré en l’écoutant, un souvenir qu’elle évoque avec une émotion palpable.
L’émotion à fleur de peau sur le plateau
En constatant la voix tremblante de la chanteuse, les chroniqueurs n’ont pas manqué de relever son trouble. Sylvie Vartan tente alors de masquer son émotion en détournant le regard, mais la charge affective du moment est évidente. Anne-Elisabeth Lemoine rappelle que l’artiste est souvent bouleversée lorsqu’elle chante La Maritza en Bulgarie, son pays natal. « Je n’ai pas arrêté de pleurer en Bulgarie », confie-t-elle, en se tournant vers son fils, témoin direct de ces instants intimes.
Un échange tendre entre une mère et son fils

Face à la montée des émotions, David Hallyday réagit avec douceur, lançant avec humour : « Bon, arrêtez de faire pleurer ma mère. » Un moment de légèreté qui contraste avec la charge affective du récit, témoignant de la complicité chaleureuse entre les deux artistes. Anne-Elisabeth Lemoine souligne ensuite que lorsque La Maritza résonne, il se produit « quelque chose d’incroyable dans la salle et dans le cœur des spectateurs », une manière d’honorer ce titre devenu un symbole de l’histoire personnelle et artistique de Sylvie Vartan.





