15 49.0138 8.38624 1 1 10000 1 https://fr.housetherapie.com 300
Publicité:
Publicité:

Affaire Lola : « Je n’attends plus la vérité », son frère Thibault craque après le récit glaçant de Dahbia Benkired

Publicité:

Trois ans après le meurtre de la jeune Lola, l’émotion reste intacte. Ce mardi 22 octobre 2025, la cour d’assises de Paris a rouvert les plaies d’un drame insoutenable. Dahbia Benkired, 27 ans, accusée du viol et de l’assassinat de la fillette, a livré un témoignage glaçant, oscillant entre incohérence, cynisme et absence totale de remords.

L’audience s’est déroulée dans un silence pesant. L’accusée a d’abord décrit sa rencontre avec Lola, expliquant l’avoir rassurée avant de la contraindre à la suivre : « T’inquiète pas, je te ferai pas de mal ». Quelques minutes plus tard, elle reconnaît l’avoir forcée à monter dans l’appartement de sa sœur, tout en soutenant que la fillette ne s’était pas opposée à ses gestes. Puis, dans une phrase qui a glacé l’assistance, elle ose affirmer : « Pour moi, vu qu’elle a pas dit non, c’est oui ». Ces mots, prononcés sans émotion, ont provoqué des murmures d’indignation dans la salle d’audience.

Une tentative de minimiser l’horreur

Malgré des preuves accablantes — images de vidéosurveillance, témoignages concordants, et quarante plaies recensées sur le corps de Lola — Dahbia Benkired continue à nier la gravité de ses actes. « Je lui ai juste claqué la tête contre le mur, mais très doucement », dit-elle d’un ton neutre, avant d’ajouter : « C’est pas que je voulais la tuer, c’est que je voulais faire du mal à quelqu’un. Et puis comme je l’ai violée, je me suis dit autant la tuer ». Une déclaration d’une cruauté sidérante, qui laisse le tribunal sans voix et confirme la froideur clinique de l’accusée.

Une personnalité jugée pleinement consciente

Les experts psychiatres ont dressé un portrait glaçant : une femme à la lucidité intacte mais au profil psychopathique élevé. Selon eux, Dahbia Benkired n’est pas folle — elle sait parfaitement ce qu’elle fait. Elle affirme avoir agi par vengeance contre un ex-compagnon et avoir choisi Lola « au hasard ». Les spécialistes évoquent une « personnalité dominée par la haine et la frustration », dénuée de toute empathie. Son attitude durant le procès, entre désinvolture et provocations, n’a fait qu’accentuer la stupeur des jurés.

Des propos inhumains et un symbole d’horreur

Le moment le plus insoutenable est survenu lorsque l’accusée a comparé la fillette à “un mouton qu’on égorge en Algérie”, évoquant les chiffres « 0 » et « 1 » peints sous ses pieds — un détail morbide dont la signification échappe encore aux enquêteurs. La salle a été saisie d’un frisson collectif, tant les propos semblaient traduire une absence totale d’humanité. Le frère de Lola, Thibault, a pris la parole, brisé par la douleur : « Je n’attends plus la vérité, avec tout ce qu’elle raconte… ».

Publicité:

Publicité:

Merci pour le partage!