À 31 ans, Camélia Jordana règle ses comptes : « Il n’y a pas un seul Français qui…
Camélia Jordana, chanteuse devenue actrice, est souvent reconnue pour ses prises de position tranchées sur les sujets brûlants de l’actualité.
Récemment sur TF1, elle a revisité ses déclarations sur les bavures policières, démontrant une évolution dans sa manière de communiquer et une profonde réflexion sur le rôle des forces de l’ordre en France.
Camélia Jordana s’est d’abord fait connaître en tant que chanteuse grâce à l’émission Nouvelle Star en 2009, avant de s’orienter vers le cinéma.
En plus de sa carrière artistique, elle n’hésite pas à exprimer ouvertement ses opinions sur divers enjeux sociaux.
Ces prises de position l’ont parfois mise en difficulté, notamment lors de son passage controversé dans l’émission On n’est pas couché en 2020, où ses commentaires sur la police avaient suscité de vifs débats.
Lors de cette apparition télévisée, Jordana avait émis des critiques sévères concernant les forces de l’ordre, affirmant que certaines personnes étaient quotidiennement victimisées en France en raison de leur couleur de peau.
Ces propos avaient provoqué une onde de choc, attirant la réprobation de nombreuses personnes, y compris des membres de la police et de leurs familles.
Réflexion et Réconciliation
Récemment, durant la promotion de son film Avant que les flammes ne s’éteignent, Camélia Jordana a pris le temps de revenir sur ces déclarations. Face à Audrey Crespo-Mara au JT de TF1, elle reconnaît avoir été maladroite dans ses mots.
« Ce n’était pas précis et réfléchi, » admet-elle, expliquant que son intention n’était pas d’accuser mais de mettre en lumière des situations de violence inacceptables.
Elle mentionne également le cas tragique de Nahel, tué par un policier, comme un exemple de ce qu’elle dénonce.
Consciente de la complexité de la situation, Jordana souligne l’importance de soutenir la police, souvent confrontée à un manque de ressources et à des conditions de travail difficiles.
Elle plaide pour une meilleure compréhension et coopération entre la police et la communauté, affirmant que « la police fait partie de la société » et que l’objectif commun devrait être la confiance mutuelle et le respect des droits de chacun.