« Rah j’en ai marre ! » : Apolline de Malherbe au bord du craquage en plein direct à cause de ce seul mot
Dans l’édition de ce mercredi sur BFMTV, Apolline de Malherbe a reçu François Ruffin, député de la Somme pour Picardie Debout !, pour discuter des enjeux actuels autour du budget 2025 proposé par Michel Barnier.
Un échange animé a révélé les tensions sous-jacentes concernant les termes utilisés pour décrire la politique fiscale.
Lors de son passage dans l’émission « Face à Face », François Ruffin a abordé les décisions prises dans le cadre du budget, notamment en ce qui concerne les mesures fiscales sur les superprofits et les dividendes.
Il a tenté de souligner qu’il existait des éléments de « bon sens » dans le budget qui méritaient d’être considérés plutôt que rejetés en bloc.
« Je pense qu’il y avait moyen de ne pas rejeter tout ça en bloc et de se dire : ‘bon, il y a une partie, que vous l’appréciez ou pas, de bon sens là-dedans, » expliquait-il.
Le mot de trop pour Apolline de Malherbe
Cependant, l’utilisation répétée du terme « bon sens » par le député a visiblement agacé Apolline de Malherbe.
« Rah, j’en ai marre de ce ‘bon sens’ ! », a-t-elle exprimé, révélant son exaspération face à ce qu’elle percevait comme une rhétorique redondante.
« Non mais, vous le dites tous. C’est comme le mot système, ‘ce serait toujours la faute du système’, » ajoutait-elle, critique envers ce qu’elle considère comme des généralisations abusives.
La défense de Ruffin
François Ruffin, quelque peu déconcerté par cette réaction, a tenté de défendre l’utilisation de termes généraux tout en reconnaissant leur nature parfois vague.
« Vous savez, j’espère qu’on dit tous le mot démocratie, j’espère qu’on dit tous le mot travail, je pense qu’en revanche ce qu’on y met derrière n’est pas du tout la même chose, » répondait-il, suggérant que même des mots comme « bon sens » peuvent avoir des significations diverses selon qui les emploie.
Une conclusion sur une note de désaccord
Le débat s’est clos sur une note de désaccord implicite, avec Apolline de Malherbe critiquant la manière dont les politiciens, selon elle, se positionnent trop souvent comme les « garants du bon sens » sans nécessairement en démontrer la substance.
Ruffin, de son côté, a maintenu que certaines décisions gouvernementales heurtent le « sens commun » des gens, qui ne comprennent pas toujours les raisons sous-jacentes à ces choix.