“Pas seulement des journalistes” : Patrick Sébastien cash sur ses aventures avec les femmes des autres
Patrick Sébastien n’a jamais caché son goût pour la liberté, ni dans ses paroles, ni dans sa vie sentimentale.
L’ex-animateur aux allures de bon vivant revendique une vie amoureuse multiple, sans tabou ni culpabilité. Derrière le rire, le chanteur des « Sardines » assume une philosophie de vie décomplexée et provocatrice. C’est un Patrick Sébastien fidèle à lui-même que l’on retrouve dans l’émission Legend : franc, provocateur et résolument assumé. Questionné par Guillaume Pley, l’ancien roi du divertissement ne fait pas de mystère : il a vécu de nombreuses aventures amoureuses, parfois même avec les compagnes de journalistes qui le méprisaient ouvertement. « Elles ne pouvaient pas imaginer une seule seconde que leur chère et tendre puisse être éprise d’un personnage soi-disant aussi grossier que moi », lance-t-il, sourire en coin.
Pour l’ancien présentateur du Plus Grand Cabaret du Monde, ces expériences relèvent plus de la revanche symbolique que de la pure provocation. Il savoure, sans filtre, le plaisir d’avoir séduit là où personne ne l’attendait, d’avoir brisé les certitudes de ceux qui le jugeaient de haut.
Une vision de l’amour libre et complice
Sébastien ne se contente pas d’évoquer des histoires d’un soir. Il parle aussi de romances sincères, d’attachements profonds et de connexions sans ambiguïté avec des femmes qui, comme lui, fuient les carcans traditionnels. « Des aventures profondes, des aventures légères, mais en toute connaissance de cause », précise-t-il. Il évoque un monde où l’on aime sans se justifier, sans mentir, sans jouer un rôle.
« Je ne suis pas le pire des compagnons », affirme-t-il avec une modestie apparente, laissant entendre qu’il sait aussi écouter, accompagner et respecter les femmes qui partagent sa route, qu’elles soient passagères ou plus durables.
Un mode de vie à contre-courant
Dans le milieu de la télévision, souvent scruté, commenté et parfois très normatif, Patrick Sébastien se décrit comme un électron libre, difficilement classable. Il le dit sans détour : le couple y est une équation instable, encore plus pour ceux qui refusent les compromis au nom des apparences. Pour lui, la solution réside dans l’acceptation de la pluralité des désirs, la transparence et une bonne dose d’hédonisme.
« Les gens comme moi, on est de bons vivants », affirme-t-il fièrement. Il oppose à la bien-pensance un art de vivre jovial et festif, souvent incompris, mais totalement cohérent avec l’image qu’il a cultivée depuis des décennies.
Derrière ses déclarations provocatrices, Patrick Sébastien semble porter un discours plus profond sur la liberté individuelle et l’hypocrisie sociale. Il se moque des jugements, refuse les étiquettes, et revendique un droit au bonheur qui ne passe pas par le conformisme. Son franc-parler, parfois perçu comme beauf, devient ici le reflet d’une pensée assumée, presque philosophique : vivre pleinement, aimer sans peur, profiter sans s’excuser.