Julie Gayet a créé la surprise en foulant le tapis rouge du Festival de Cannes 2025 au bras de son fils Ezéchiel. Une apparition rare et pleine de symboles, mêlant glamour, émotions personnelles et hommage discret à ses racines artistiques.

Le 28 mai 2025, Julie Gayet a fait une entrée remarquée sur la Croisette, non pas accompagnée de son époux François Hollande, mais de son fils Ezéchiel, fruit de sa relation passée avec le réalisateur argentin Santiago Amigorena. Une décision loin d’être anodine, qui a immédiatement attiré l’attention des photographes et du public. Élégants, souriants, la complicité entre la mère et son fils sautait aux yeux, dévoilant une facette plus intime de l’actrice française, habituellement discrète sur sa vie familiale.

Ezéchiel, un jeune homme entre deux univers

Ce qui a frappé d’emblée, c’est la ressemblance saisissante entre Ezéchiel et son père. Même regard, même posture, même allure… Le jeune homme, âgé d’une vingtaine d’années, semble marcher dans les pas de ses illustres parents. Fils d’un cinéaste reconnu et d’une actrice engagée, il incarne cette nouvelle génération nourrie de culture, de sensibilité et de lucidité sur la notoriété.

S’il n’a pas encore officiellement débuté une carrière dans le 7e art, son apparition à Cannes pourrait marquer un tournant. « Il est très inspiré par le cinéma, mais reste discret sur ses projets », a glissé une source proche de la famille. Un silence qui en dit long sur l’authenticité du parcours qu’il semble vouloir tracer.

Julie Gayet : entre intimité préservée et affirmation familiale

Cette venue à Cannes était loin d’un simple geste de convenance. En choisissant d’apparaître avec Ezéchiel, Julie Gayet a affirmé la place centrale de la famille dans sa vie, loin des projecteurs de la politique. Elle a préféré célébrer le lien mère-fils plutôt que d’être photographiée avec François Hollande, son mari, pourtant habitué aux événements officiels.

Ce choix en dit long sur la volonté de préserver un espace personnel, loin de toute récupération médiatique. Julie Gayet, connue pour ses engagements culturels et sociétaux, a ici livré un message fort sur la transmission, la filiation, et l’intimité choisie.

Un clin d’œil au passé, un regard tourné vers l’avenir

L’ombre discrète de Santiago Amigorena planait sur cet événement. Ancien compagnon de l’actrice, le réalisateur argentin est aujourd’hui une figure respectée du cinéma d’auteur. Même si leur relation s’est terminée il y a plusieurs années, leur collaboration s’est poursuivie dans un respect mutuel, notamment autour de l’éducation d’Ezéchiel. Une illustration rare et apaisée d’une parentalité moderne et bienveillante.