Après près d’une décennie d’absence, l’émission culte « Intervilles » s’apprête à illuminer de nouveau les écrans estivaux. Portée par un Nagui enthousiaste et une équipe bigarrée, cette renaissance s’annonce comme un cocktail de nostalgie, de rires et de camaraderie, sur fond de souvenirs… et de petites révélations personnelles.

Le 7 juin dernier, Nagui a marqué les esprits sur le plateau de Quelle Époque ! en confirmant le grand retour d’Intervilles. Dès le 3 juillet, les téléspectateurs auront rendez-vous chaque jeudi soir sur France 2 pour quatre soirées consécutives qui culmineront avec une grande finale le 24 juillet. L’objectif est clair : faire revivre cette ambiance festive et populaire qui a marqué plusieurs générations de téléspectateurs français. Avec humour et énergie, l’émission promet un été de retrouvailles.

Une équipe haute en couleurs pour ce come-back

Pour réussir cette nouvelle version, Nagui s’est entouré d’un casting aussi surprenant que prometteur : Bruno Guillon, Magali Ripoll, Yoann Riou, Camille Cerf et Valérie Bègue composent cette nouvelle troupe. Une alliance intergénérationnelle qui mêle expérience, folie douce et charme. Sur le plateau de Léa Salamé, Nagui n’a pas caché son admiration, en particulier pour Bruno Guillon, qu’il qualifie de « meilleur animateur de télévision en France, toutes chaînes confondues ». Un éloge sincère et appuyé qui en dit long sur la confiance qu’il place en lui.

Une admiration professionnelle transformée en amitié

Nagui est revenu sur leur relation professionnelle, évoquant une promesse faite à Bruno Guillon des années auparavant : « Un jour, je te produirai. » Et aujourd’hui, cette promesse prend forme. L’animateur souligne la qualité humaine de Guillon, sa proximité réelle avec le public, et surtout la naissance d’une amitié bâtie sur l’expérience partagée. « On s’est mis à travailler ensemble, et on est devenus amis. Ce qui est, selon moi, plus solide », confie-t-il. Un tandem solide, cimenté par des valeurs communes, qui s’apprête à porter haut les couleurs de l’émission.

Une complicité renforcée par le football

Au-delà des caméras, Nagui et Bruno Guillon partagent une passion commune : le football. Bien qu’ils soutiennent des clubs différents, ils se retrouvent pour encourager l’équipe de France. Ce lien sportif vient renforcer une entente déjà naturelle, et illustre l’ambiance bon enfant qui règne au sein de cette nouvelle version d’Intervilles. À en croire les confidences du plateau, le programme devrait faire la part belle à la convivialité et aux fous rires — ce qui ne devrait pas ravir certains concurrents du paysage télé, notamment Cyril Hanouna.

Une parenthèse personnelle sur la santé de Nagui

Mais au-delà du divertissement, Nagui s’est aussi récemment livré sur un épisode plus intime de sa vie. Lors d’un entretien avec Bernard Campan sur France Inter, il a évoqué une consultation médicale marquante. À l’annonce des résultats d’analyses, un médecin, visiblement taquin, a d’abord laissé planer le doute en lançant : « Il y a un vrai problème. » Le stress fut intense. « Au fond de moi, je me suis effondré », confie Nagui, revivant l’angoisse de l’instant. Un moment suspendu, révélateur de la vulnérabilité même des figures médiatiques les plus emblématiques.

Une chute pleine d’humour et de soulagement

Heureusement, le médecin s’est rapidement dévoilé comme un farceur, détournant la situation avec humour : « Je suis déçu, vos analyses sont excellentes pour un végétarien, ça m’énerve ! Je vais devoir arrêter le saumon ! » Un trait d’esprit qui a détendu l’atmosphère, arrachant des rires à Bernard Campan et à toute l’équipe. Ce moment souligne l’importance de l’humour, même dans les instants les plus tendus. Et c’est sans doute cette légèreté, cette capacité à faire sourire tout en restant sincère, qui fait de Nagui une figure à part dans le paysage audiovisuel.