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Estomaqué par une séquence de Quelle époque, Cyril Hanouna ne prend pas de gants sur la vie privée de Léa Salamé

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À mesure que le silence s’installe autour de sa santé, Charles III semble s’inscrire dans un règne marqué par l’épreuve, la dignité et la discrétion. À 75 ans, le souverain britannique se bat contre un mal incurable, tout en tentant de préserver la stabilité de la monarchie qu’il incarne depuis un peu plus d’un an.

Depuis début 2024, le diagnostic est tombé : Charles III souffre d’un cancer jugé incurable. Une annonce d’abord entourée d’un mutisme officiel, respectant une tradition monarchique où la santé du souverain reste une affaire privée. Pourtant, derrière les murs feutrés de Clarence House, c’est une tout autre réalité qui s’écrit, faite de traitements médicaux intensifs, d’adaptations logistiques et d’une vigilance constante.

Selon ses proches, le roi suit un protocole thérapeutique strict qui lui permettrait de vivre « avec » la maladie, plutôt que d’en subir une issue imminente. Mais la vérité, telle qu’elle est aujourd’hui relayée par la presse britannique, est bien plus nuancée.

La révélation choc de Camilla Tominey

Le 7 juin 2025, Camilla Tominey, journaliste chevronnée du Telegraph, a brisé le silence poli des institutions en publiant un article sans détour sur l’état réel du monarque. Elle y affirme que le cancer de Charles III est non seulement incurable, mais qu’il remet en cause certains projets majeurs, notamment les festivités prévues pour ses 80 ans en 2028. « Il mourra probablement avec le cancer, mais pas de ce cancer », peut-on y lire.

Un constat lourd, que l’entourage du roi préfère relativiser, affirmant que l’état de Charles III est « stable », malgré l’annulation ou l’aménagement de plusieurs engagements publics depuis le début du printemps.

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Clarence House, plus qu’un refuge

Le choix de quitter Buckingham pour Clarence House n’est pas seulement une question de confort, mais un signe clair de la transformation du quotidien royal. Cette résidence, plus intime, plus facile à sécuriser et à adapter aux besoins d’un malade, est devenue le centre névralgique du pouvoir du roi malade, un peu à l’image de ce que Sandringham fut pour son grand-père George VI en fin de règne.

Malgré cela, Charles III continue d’assurer ses fonctions dans la mesure du possible : audiences limitées, signature de textes, communications officielles… Mais les apparitions publiques sont désormais rares et minutieusement orchestrées, dans un souci d’image et de préservation.

Une monarchie fragilisée… mais pas vacillante

Ce contexte sanitaire délicat ne manque pas de raviver les interrogations sur la continuité de la monarchie britannique. Si Charles III demeure, pour l’heure, en capacité de régner, le rôle croissant du prince William dans les affaires royales laisse entrevoir une transition en douceur. Un prince héritier de plus en plus visible, plus populaire encore que son père, et dont le profil rassure une partie de l’opinion.

Mais la monarchie, déjà fragilisée par les années de tensions internes et les scandales ayant éclaboussé plusieurs membres de la famille royale, reste en sursis symbolique. La maladie du roi agit alors comme un catalyseur de toutes les projections possibles sur l’avenir de la couronne.

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Le spectre d’une réconciliation avec Harry

Dans cette atmosphère pesante, l’éventualité d’un rapprochement entre le roi et son fils cadet, le prince Harry, refait surface. Camilla Tominey évoque une possible main tendue entre père et fils à l’occasion des Invictus Games de 2027, organisés à Birmingham. Une hypothèse intrigante, compte tenu de l’éloignement profond entre les deux hommes.

Harry, interrogé par la BBC, a reconnu ne plus être en contact avec son père, principalement en raison d’un différend sur les questions de sécurité. Toutefois, il a également affirmé vouloir « enterrer la hache de guerre », ce qui pourrait, à terme, amorcer un retour progressif dans le giron royal.

Mais la réconciliation, si elle a lieu, ne serait pas dénuée d’enjeux stratégiques. Car la famille royale reste une institution politique autant que familiale, et chaque geste, chaque photo, chaque apparition commune est lourd de sens.

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Un roi face à son destin

Charles III vit aujourd’hui un règne contrarié, entre promesse de modernité, contraintes de santé, et nécessité de maintenir une image forte de la monarchie britannique. Sa maladie, si elle reste officiellement cantonnée à la sphère privée, est devenue un enjeu public, scruté avec attention à Londres comme dans le reste du Commonwealth.

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