« Elle ne veut pas que la France gagne » : Marie Myriam fait une étonnante révélation liée à l’Eurovision
Marie Myriam, la dernière gagnante française de l’Eurovision en 1977, reste une observatrice passionnée du concours.
Plus de quatre décennies après sa victoire avec « L’Oiseau et l’Enfant », elle continue de suivre l’événement avec intérêt et affection.
Récemment, elle a partagé des anecdotes et ses impressions sur la dernière édition du concours lors de son passage dans l’émission « Chez Jordan » sur C8.
Des Superstitions et des Souhaits Autour de l’Eurovision
Lors de son interview avec Jordan, Marie Myriam a révélé une perspective amusante et quelque peu superstitieuse concernant la victoire de la France à l’Eurovision.
Elle a mentionné des proches, comme Joe Grassi et Jean-Paul Cara, ainsi que sa propre mère, qui semblent avoir des rituels pour éviter une victoire française : « Il y a tout un préparatif, elle met des choses autour d’elle pour regarder l’émission et elle ne veut pas que la France gagne. »
Ces confessions montrent un aspect léger et humoristique des croyances entourant le concours, partagé même par des célébrités comme Cyril Hanouna qui lui a confié ne pas vouloir voir la France gagner.
Impressions sur l’Eurovision 2024
Le concours de 2024 a vu la Suisse remporter le trophée grâce à la performance de Nemo, que Marie Myriam a qualifié d' »extraordinaire ».
Toutefois, elle a avoué que sa chanson favorite était celle de Slimane pour la France, ainsi que le représentant de l’Italie. Elle a exprimé une certaine nostalgie pour des chansons qui, selon elle, incarnaient mieux l’esprit de la musique par rapport à d’autres contributions plus axées sur le rock.
Déploration de l’Atmosphère du Concours
Un des points saillants de son commentaire concernait l’atmosphère lors du concours. Marie Myriam a déploré l’ambiance qui régnait, en particulier les huées dirigées contre la candidate d’Israël :
« On parlait d’unité musicale, je n’ai pas vu ça. J’ai vu que des cris et des gens qui râlaient. » Elle a évoqué sa propre expérience à 20 ans, se mettant à la place des jeunes artistes d’aujourd’hui et imaginant la difficulté de faire face à une telle réaction.