Disparition du petit Emile : un habitant évoque une erreur des gendarmes « Ça m’a étonné qu’ils aient… »
Dans les colonnes de Le Parisien ce jeudi, un habitant du Vernet a exprimé ses doutes concernant l’efficacité des recherches effectuées par les gendarmes dans l’affaire de la disparition du petit Émile Soleil.
Près de neuf mois après la disparition du garçonnet, c’est une promeneuse qui a découvert ses ossements et non les enquêteurs, malgré une battue intensive dans la région.
Le résident local s’est dit surpris que personne n’ait croisé Émile, remettant en question la rigueur des recherches: « Ce qui est étonnant, c’est que les chiens n’aient rien senti, ceux des gendarmes ou ceux des chasseurs à l’automne, » a-t-il déclaré.
Il a également souligné une possible négligence dans le processus d’enquête, mentionnant que son téléphone n’avait pas été examiné: « Ça m’a étonné. Comme quoi, les gendarmes peuvent faire quelques erreurs. »
L’article aborde également les raisons pour lesquelles les restes d’Émile n’ont pas été découverts plus tôt, en citant des difficultés terrain et la possible présence d’animaux sauvages qui pourraient avoir influencé le déroulement des événements après la disparition d’Émile.
L’homme du Vernet a expliqué: « C’est très en pente, glissant. On peut se rompre le cou. Donc, les bénévoles, il y en a tout de suite moins pour aller là-dedans. Il faut avoir le pied montagnard, on se fait griffer par les buissons. »
Cet entretien ajoute une couche de complexité à une affaire déjà douloureuse et soulève des questions importantes sur les méthodes utilisées par les forces de l’ordre dans de telles recherches.
Les efforts pour comprendre précisément ce qui s’est passé continuent, tandis que la communauté reste en quête de réponses…