François Valéry ruiné et à la rue, le chanteur ne doit la vie qu’à ses…
La décision d’inviter Aya Nakamura à chanter lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques 2024 à Paris a suscité des réactions mitigées.
Connue pour ses hits entraînants et sa présence médiatique forte, la chanteuse jouit d’une immense popularité, notamment sur les réseaux sociaux où elle compte près de 4 millions d’abonnés sur Instagram.
Cette annonce a divisé l’opinion publique, certains célébrant le choix d’une artiste moderne et influente, tandis que d’autres expriment des réserves, questionnant sa capacité à représenter la France lors d’un événement d’une telle envergure.
Sur le plateau de l’émission « Chez Jordan » sur C8, le chanteur François Valéry a été invité à commenter cette sélection. Avec une neutralité calculée, il a exprimé une opinion mesurée, reconnaissant le courage qu’implique l’acceptation d’un tel rôle tout en restant ouvert et sans critique directe.
« Moi, je n’ai pas d’avis. Je crois que chacun est libre… Il faut être gonflé déjà pour chanter Piaf mais c’est son choix. C’est pas rien quoi ! C’est pas donné à tout le monde ! Mais moi je ne suis pas contre, » a-t-il déclaré, soulignant le défi que représente le fait de reprendre des classiques de la musique française tels que ceux de Piaf, souvent considérés comme des emblèmes nationaux.
Lorsque pressé par l’animateur Jordan de Luxe pour clarifier ses propos sur le besoin de courage pour accepter de tels défis, François Valéry a réaffirmé cette idée : « Il faut être gonflé quand même. »
Toutefois, il a également souligné le respect que mérite Aya Nakamura en tant qu’artiste influente et largement suivie, ajoutant qu’il soutient pleinement sa participation à l’événement.
« Moi je pense que c’est une artiste qui est super médiatisée, qui a beaucoup d’abonnés, ça se respecte. Donc moi je suis pour. Je suis contre rien du tout. Je connais tellement les tenants et les aboutissants de cette profession que voilà… »
La décision a également reçu le soutien du président Emmanuel Macron, qui a défendu la chanteuse, reconnaissant sa capacité à toucher un large public et à représenter une facette contemporaine de la culture française.
Cette interaction résume bien les tensions entre tradition et modernité qui caractérisent souvent les débats autour de la représentation culturelle lors de grands événements internationaux comme les Jeux Olympiques.
