Antoine Griezmann papa pour la 4e fois : découvrez le prénom de son bébé qui déroge à la tradition familiale
Alors qu’il disputait la Coupe du monde des clubs aux États-Unis, Antoine Griezmann a partagé une heureuse nouvelle ce dimanche 16 juin : la naissance de son quatrième enfant. Un moment fort pour l’attaquant français, qui voit sa tribu s’agrandir avec un nouveau prénom symbolique et une jolie coïncidence de calendrier.
Le cœur d’Antoine Griezmann battait sans doute bien plus fort pour sa famille que pour le match qui l’opposait au PSG la veille. Bien que l’Atlético Madrid ait subi une lourde défaite (4-0) face au club parisien, l’attaquant tricolore savourait en silence un bonheur bien plus personnel. Son épouse, Erika Choperena, a donné naissance le 15 juin à leur quatrième enfant, comme l’a annoncé le footballeur sur Instagram, publiant une photo attendrissante des petites mains du nouveau-né entourées de celles de ses frères et sœurs.
« Hier, le 15 juin, est né Shai Griezmann Choperena, la pièce manquante de notre puzzle », a-t-il écrit en légende. Une déclaration à la fois intime et poétique qui a aussitôt ému ses abonnés, déjà nombreux à féliciter le couple.
Un prénom inattendu, porteur de sens
Le prénom du nouveau-né, « Shai », détonne légèrement par rapport aux choix précédents du couple. D’origine hébraïque, il signifie « cadeau », un mot chargé d’affection qui trouve tout son sens à l’occasion de cette naissance survenue… le jour de la Fête des pères.
Contrairement à Mia, Amaro et Alba, dont les prénoms résonnent avec des sonorités latines ou hispaniques, « Shai » adopte une consonance plus rare. Il conserve néanmoins une lettre fétiche : la présence du « a », élément commun à tous les enfants du couple. Ce nouveau choix, plus international, s’inscrit dans une volonté assumée de singularité, tout en conservant une cohérence discrète dans l’univers lexical de la famille.
Une incroyable coïncidence rompue
L’arrivée de Shai met fin à une étonnante série qui avait amusé les fans du joueur : celle des naissances synchronisées. En effet, Mia (née en 2016), Amaro (2019) et Alba (2021) sont tous nés… le 8 avril. Une date devenue familiale par excellence, presque fêtée comme un événement rituel. Le 15 juin change la donne : le benjamin de la fratrie célèbre son arrivée à un autre moment de l’année, brisant une coïncidence rarissime.
Antoine Griezmann avait assuré par le passé que ces naissances simultanées n’étaient pas préméditées. « Une pure coïncidence », affirmait-il dans les médias, balayant toute idée de déclenchement médical pour faire coïncider les dates. Si les probabilités étaient déjà minimes, l’arrivée de Shai confirme que le destin reste maître du calendrier.
Une famille unie, au-delà du ballon rond
Très discret sur sa vie privée, Antoine Griezmann partage rarement des images de ses enfants ou de sa compagne. L’annonce de la naissance de Shai fait donc figure d’exception, d’autant plus qu’elle intervient dans un contexte émotionnel fort : loin de sa famille, mobilisé pour un tournoi important, le joueur trouve dans cette nouvelle paternité une source de motivation et d’équilibre.
Le footballeur et Erika Choperena cultivent une image de couple solide et discret. Ensemble depuis plus d’une décennie, ils ont construit leur vie entre la France et l’Espagne, veillant à préserver leurs enfants de la surexposition médiatique, malgré la notoriété immense du père. Ce quatrième enfant s’inscrit donc dans un projet familial cohérent, où les valeurs de tendresse et de stabilité semblent primordiales.
Une annonce simple, mais symbolique
Le message posté par Griezmann ne s’accompagne d’aucune mention explicite du sexe de l’enfant, ajoutant au mystère autour de cette naissance. En s’en tenant à une photo douce et à une phrase symbolique, le champion du monde 2018 confirme son attachement à une forme de pudeur rare chez les célébrités.
Le choix du mot « puzzle » pour décrire sa famille complète évoque à la fois une construction patiente et une forme d’accomplissement. Shai, en tant que « pièce manquante », ne vient pas bouleverser l’équilibre, mais le parfaire. Une manière délicate de dire que chaque enfant occupe une place unique, et que cette naissance, la quatrième, revêt une importance égale aux précédentes.