Amélie Oudéa-Castéra moquée après avoir chanté du Aya Nakamura : une expérience à ne pas répéter !
Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques, a refusé de chanter à nouveau le célèbre morceau Djadja d’Aya Nakamura lors d’une interview accordée à Konbini, le jeudi 9 mai.
Sa performance, réalisée en mars dernier sur C à vous sur France 5 pour montrer son soutien à la chanteuse victime d’attaques racistes, avait suscité des moqueries sur les réseaux sociaux.
Soutien Inébranlable Malgré les Critiques
Dans l’émission de France 5, Oudéa-Castéra avait exprimé son appréciation pour la musique d’Aya Nakamura en chantonnant le refrain de Djadja. Cependant, la ministre a déclaré à Konbini qu’elle ne le referait pas : « Je ne vais pas rechanter parce qu’on s’est un peu fichu de moi. J’apprends aussi un peu le métier. On se fait un peu piéger parfois. »
Malgré les moqueries, Oudéa-Castéra a réitéré son soutien à la chanteuse et sa fierté d’avoir été « l’une des toutes premières si ce n’est la première » à dénoncer les attaques racistes envers l’artiste. Elle a souligné le talent d’Aya Nakamura et son impact, la qualifiant de « l’artiste francophone la plus écoutée ».
La Présence d’Aya Nakamura aux JO : Une Décision Attendue
« Est-ce qu’elle peut re-chanter « Djadja » d’Aya Nakamura ? »
La ministre des sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques, Amélie Oudéa-Castéra, répond aux questions des internautes.Le Q&A d’Amélie Oudéa-Castéra est à voir en intégralité sur YouTube. pic.twitter.com/3iJD7wd9F9
— Konbini (@KonbiniFr) May 10, 2024
Suite aux attaques racistes, Oudéa-Castéra avait également défendu Aya Nakamura lors d’une interview sur TF1. Face à Bruce Toussaint, elle a souligné le talent de l’interprète de Djadja en affirmant : « Elle doit être respectée. » La ministre a insisté sur l’importance culturelle et sociale de l’artiste, ajoutant qu’elle « fait danser des millions de Français chaque soir. »
Concernant la participation potentielle d’Aya Nakamura à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, Oudéa-Castéra a précisé que la décision finale appartient à Thomas Jolly, le directeur artistique. Le suspense reste donc entier.
