Affaire Kendji Girac, sa compagne Soraya brise enfin le silence : “Je ne peux laisser dire des choses fausses”
On prétendait qu’elle avait quitté précipitamment la France pour la Suisse avec sa fille dès le jour même du tragique accident survenu le 22 avril dernier. Pourtant, la réalité est tout autre.
Ce dimanche 5 mai, Soraya, la compagne de Kendji Girac, choisit de prendre la parole dans Le Parisien afin de livrer sa version des événements. Initialement réticente à s’exprimer, elle confie à nos confrères que ce n’est pas son rôle d’être sous les feux des projecteurs.
Cependant, les faussetés propagées à propos de Kendji et de leur couple l’incitent désormais à briser le silence et à partager sa vérité.
Depuis le jour de l’accident, Soraya assure être demeurée aux côtés de Kendji en permanence. Elle souligne : « Depuis sa sortie de l’hôpital, nous sommes ensemble avec notre fille, bien sûr.
Sa convalescence sera longue, et je resterai à ses côtés avec notre enfant. Nous avons besoin de ce temps en famille, tous les trois. Comment peut-on affirmer que j’ai quitté la France avec notre fille ? Je suis déconcertée par la publication de telles informations. »
Elle ajoute : « Je n’ai jamais ressenti de colère. Au début, j’ai été terrifiée pour sa vie, sous le choc, puis stressée et confuse, mais jamais en colère. Pour me protéger, je n’ai pas tout lu, car je traversais déjà une période très difficile. »
Inévitablement, nos confrères du Parisien abordent les allégations de violences psychologiques, qui ont également suscité beaucoup de spéculations. À ce sujet, Soraya affirme avec fermeté : « Kendji n’a jamais tenté de me manipuler par des menaces de suicide, soyons clairs.
Cela n’a jamais été le cas. Je n’ai jamais été victime de la moindre forme de violence de sa part. Je suis catégorique. Il en est tout simplement incapable. Comment peut-on avancer de telles hypothèses ? Je veux rétablir la vérité, car tout ce qui a été dit relève du surréalisme […].
J’ai du caractère, j’ai été éduquée dans une famille où les femmes se font respecter, et je n’aurais jamais toléré autre chose. Kendji est d’une gentillesse infinie. C’est une évidence pour tous ceux qui le connaissent.
Ceux qui émettent des jugements sans connaître la réalité se trompent. Il est incapable de faire du mal à qui que ce soit, si ce n’est finalement à lui-même. Il traversait une période difficile depuis quelques mois, nous en avons discuté, je sais qu’il surmontera cela et je serai là pour lui.
Il est bouleversé d’avoir infligé tant de souffrance à lui-même. » Cette mise au point est on ne peut plus claire.